Soirée rap au profit de l’antirépression au 38
20h-00h Entrée à Prix Libre Restauration et bar sur place
En marge des manifestations contre la loi travail, le gouvernement se rend coupable de tentatives de manipulation de l’opinion publique. En effet, pour diviser et effrayer les manifestants, la police arrête arbitrairement, puis exagère les faits de violences avant de mentir délibérément sur le contexte et les intentions de personnes interpellées. Cette stratégie d’isolement de quelques cas, cette stigmatisation à force de mensonges, largement relayée par des médias aux ordres des politiques, dont la nullité n’a d’égale que la cupidité et qui distillent tranquillement l’accusation dans l’opinion publique.
A travers la condamnation abusive et démesurée de quelqu’un, c’est l’ensemble du mouvement social et plus globalement l’action collective militante qui sont visés. Nous répondons à ces attaques par la solidarité et appelons au soutien
Programmation :
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Rappeur antillais communiste d’Ardèche
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Dee Juli’One, AC et DK composent les sales gueules ! Du Hip Hop Oldschoooool, mec ! teinté de centaines d’influences musicales différentes... Bref : Son, rimes, fond, forme S’combinent pour un truc non conforme
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Batras est un MC vegan antifasciste qui fait partie du groupe Sang Mêlé. Ses textes explicites ne laissent planer aucun doute sur ses engagements et ses prises de positions. Il décrie la société telle qu’il la voie sans faire dans la demi-mesure.
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Open Mic’
Le 38 rue d’Alembert - Lieu commun est un espace d’activités solidaires dans le quartier Saint-Bruno, un centre social ouvert à toutes et tous et qui n’est pas géré par la municipalité. Des habitant·e·s du quartier ont décidé de créer cet espace d’activités en occupant des locaux laissés vacants depuis plusieurs mois et appartenant à la mairie de Grenoble et des propriétaires privés, pour les raisons suivantes : « Nous pensons que pour vivre, notre quartier doit conserver et créer des espaces d’activités. En particulier pour y développer des activités solidaires, qui répondent aux besoins des habitant·e·s, surtout ceux qui galèrent, et surtout ceux qui ne se résignent pas à survivre. […] Parce qu’on part des problèmes réels. On ne veut pas seulement survivre, et si la vie est un tas de problèmes, on préfère les résoudre collectivement. Ici, on fait le choix de la solidarité, et non de l’individualisme dans lequel ce monde « mijote ».