Invariablement la question du travail revient aux centres des discussions, mais bien souvent il s'agit de s’écharper sur la façon de l'organiser, sur les inégalités salariales ou sur la répartition de ce qui est produit à travers celui-ci. Quant à de rares occasions il est discuté de l'abolir ou de réduire le temps de travail, c'est pour mettre en avant les avancées technologiques sur lesquelles ont pourrait s’appuyer pour ce débarrasser de cette charge ou en faisant valoir une réappropriation « raisonnée » des outils technologiques produit dans le cadre du système capitaliste.
La critique de la valeur-dissociation fait la démonstration que le travail est un outil au service du capitalisme et qu'il est vains de vouloir se le « réapproprier » de façon émancipatrice, mais aussi qu'il obéit à une logique patriarcale en naturalisant les rôles de genres dans son fonctionnement.
Notre prochaine discussion portera sur le texte de Robert Kurz «La dictature du temps abstrait, sur la crise commune du travail et des loisirs » pour aborder ce sujet.
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